Les scientifiques ont détecté des nanoplastiques de différents types dans la neige sur un site isolé de haute altitude dans les Alpes.
La modélisation du transport aérien indique un transport régional et à longue distance de nanoplastiques, provenant préférentiellement des zones urbaines européennes.
Ces zones urbaines sont des sources importantes de nanoplastiques sur ce site, mais les recherches ont montré que les nanoplastiques venaient également d’outre-Atlantique. Cela montre donc également que les nanoplastiques sont dans l’air que nous respirons.